Comment utiliser les discussions entre personnages pour ajouter de la profondeur et de l’authenticité à son histoire ?
Interessant ! Les dialogues c'est vraiment ce qui est le plus difficile à rendre crédible je trouve, car c'est un sacré casse tête de faire entendre le personnage au lecteur, en accord avec ce qu'il est. On peut passer des heures à créer une personnalité, un background, des motifs et ambitions, si on n'arrive pas à traduire tout cela en paroles justes, l'effort aura été vain.
Lors d’un atelier d’écriture, un auteur m’a confié que les dialogues illustraient les moments de « flemme » de l’écrivain (vs l’écriture narrative). Ça a biaisé mon point de vue pendant longtemps, mais je trouve aujourd’hui évident qu’ils dynamisent le récit. Merci pour cette mise au point très claire
Merci Alexandre. C'est amusant, je travaille aussi ces jours-ci sur les dialogues !
Je suis bien d'accord avec toi (et j'ai sans doute les mêmes travers à corriger).
En plus, je traque les dialogues non réalistes, mais utiles : ceux qui répondent à la catégorie connue en anglais sous l'acronyme AYKB (As you know, Bob). En début de roman, pour caser des infos utiles au lecteur sur le contexte, j'avais eu tendance à en abuser. J'ai réussi à corriger le tir...
Et tu as tout à fait raison sur un autre point : certaines infos sont données plusieurs fois, un peu comme si je n'étais pas certain que le lecteur ai percuté la première fois, je redonne sous une forme un peu modifiée, la même info... C'est peu utile.
J'espère moi aussi terminer mes corrections suite aux relectures diverses, d'ici courant février... à suivre !
Georges
Bon week-end. Bises à vous deux 😘
Interessant ! Les dialogues c'est vraiment ce qui est le plus difficile à rendre crédible je trouve, car c'est un sacré casse tête de faire entendre le personnage au lecteur, en accord avec ce qu'il est. On peut passer des heures à créer une personnalité, un background, des motifs et ambitions, si on n'arrive pas à traduire tout cela en paroles justes, l'effort aura été vain.
Lors d’un atelier d’écriture, un auteur m’a confié que les dialogues illustraient les moments de « flemme » de l’écrivain (vs l’écriture narrative). Ça a biaisé mon point de vue pendant longtemps, mais je trouve aujourd’hui évident qu’ils dynamisent le récit. Merci pour cette mise au point très claire
Merci Alexandre. C'est amusant, je travaille aussi ces jours-ci sur les dialogues !
Je suis bien d'accord avec toi (et j'ai sans doute les mêmes travers à corriger).
En plus, je traque les dialogues non réalistes, mais utiles : ceux qui répondent à la catégorie connue en anglais sous l'acronyme AYKB (As you know, Bob). En début de roman, pour caser des infos utiles au lecteur sur le contexte, j'avais eu tendance à en abuser. J'ai réussi à corriger le tir...
Et tu as tout à fait raison sur un autre point : certaines infos sont données plusieurs fois, un peu comme si je n'étais pas certain que le lecteur ai percuté la première fois, je redonne sous une forme un peu modifiée, la même info... C'est peu utile.
J'espère moi aussi terminer mes corrections suite aux relectures diverses, d'ici courant février... à suivre !
Georges
Bon week-end. Bises à vous deux 😘